“Je souffre de BPCO depuis bien des années et j'ai dû prendre de plus en plus d'antibiotiques ces derniers temps. J'utilisais également un inhalateur (Ventoline), beaucoup plus souvent que raisonnable. Après ma deuxième séance, mon utilisation d'inhalateur a diminué de 70 % environ. On verra bien pour les antibiotiques. J'ai été plus que satisfait.”
Edward K.
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BPCO – Bronchite chronique et emphysème
Information sur la BPCO
“La Salt Cave a changé ma vie. Avant ma première séance, j'étais souvent sous antibiotiques et stéroïdes, cloîtré chez moi. Je détestais être en compagnie d'autres personnes car j'étais gêné à cause de ma respiration bruyante. Grâce à l’halothérapie, je ne suis plus la même personne. La Salt Cave m'a permis de revivre et de gérer ma maladie pour que je puisse à nouveau profiter de la vie. En sortant de chaque séance de Salt Cave, je me sens plein de vie. J'appelle cet endroit mon paradis sur terre.”
La bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) est la quatrième cause de mortalité dans le monde. Il s'agit d'un problème majeur de santé publique touchant 2 à 15 % de la population suisse, en fonction de l'âge et du sexe (d'après Swiss Medical Weekly 2017).
La BPCO est un terme générique qui inclut la bronchite et l'emphysème. Ces deux états pathologiques, qui se manifestent le plus souvent ensemble, peuvent causer le rétrécissement des voies respiratoires.
Faits clés
- La bronchite est une inflammation des bronches (des voies respiratoires des poumons).
- L'emphysème est une lésion des petites voies aériennes et des alvéoles pulmonaires.
- « Pulmonaire » signifie « touchant aux poumons ».
Les symptômes de la BPCO
- Le premier symptôme qui se développe est souvent la toux, plus ou moins récurrente, jusqu'à ce qu'elle devienne persistante. Aux stades précoces de la maladie, cette toux est souvent interprétée comme une toux due au tabagisme. C’est souvent quand ils constatent un essoufflement que les patients commencent à s'inquiéter.
- L'essoufflement et la respiration sifflante se manifestent d'abord à l'effort, par exemple en montant les escaliers. Sans l'arrêt du tabagisme, ces symptômes ont tendance à s’aggraver au fil du temps, et avec eux, les infections pulmonaires arrivent.
Causes principales
- Le tabagisme. Le principal facteur de risque de développement d'une BPCO est le tabagisme. Aux États-Unis, 80 à 90 % des cas de BPCO sont dûs au tabagisme. Presque tous les gens qui fument toute leur vie développeront une BPCO, à moins que d'autres maladies liées au tabagisme (maladies cardiovasculaires, diabète, cancer) ne se manifestent avant.
- L'exposition professionnelle. Une exposition importante et prolongée à la poussière générée dans les secteurs de l'exploitation du charbon et de l'or, dans l'industrie textile du coton, ainsi que l'exposition à certaines substances telles que le cadmium, les isocyanates et les fumées de soudage, ont été mises en cause dans le développement de l'obstruction des voies aériennes et cela même dans l'organisme des non-fumeurs.
- La pollution de l'air. Des études menées dans de nombreux pays ont montré un nombre supérieur de cas de BPCO parmi les habitants des grandes villes par rapport aux personnes vivant à la campagne.
Comment l’halothérapie peut-elle vous aider ?
- Le sel a un effet antibactérien, il tue les bactéries
- Il réduit l'inflammation des voies respiratoires
- Le sel est mucolytique, , c'est-à-dire qu'il débarrasse les mucosités retenues et réduit le risque d'infection
Comment Salt Chamber Helvetia peut-elle vous aider ?
Pendant la cure d’halothérapie, la grande majorité des patients constatent une diminution de la fréquence et de l'intensité de leur toux. Ils arrivent à mieux évacuer l'excès de mucus qui devient moins épais et change d'aspect.
Les patients souffrant de BPCO trouvent non seulement que l’halothérapie apporte un soulagement immédiat à court terme mais qu'elle diminue également la fréquence des récidives.
L’halothérapie est un traitement prouvé en clinique, il est naturel, sûr, bénéfique et peut être administré à tout âge. Se rendre dans une de nos salles de traitement et respirer l'air salin généré par notre halogénérateur peut vous apporter une aide significative pour :
- Réduire le besoin en inhalateurs, en stéroïdes et en antibiotiques
- Respirer plus facilement après seulement quelques séances
- Améliorer la fonction pulmonaire
- Réduire le nombre d'hospitalisations
- Atténuer l'éternuement, la toux et l'essoufflement
- Libérer les poumons des mucosités
- Améliorer la résistance aux maladies des voies respiratoires
- Renforcer le système immunitaire
- Prolonger le temps de rémission
À quelle fréquence devez-vous venir vous faire soigner ?
- En fonction de votre âge et du stade de votre pathologie, 20 à 30 séances sont recommandées pour un résultat à long terme.
- Les séances doivent être rapprochées. On suggère environ deux à trois séances par semaine.
- Pour les pathologies irréversibles, des cures d'entretien de deux à trois mois sont recommandées pour maintenir les poumons dégagés.
Dans le cas de la plupart des patients, les voies respiratoires deviennent normales et les symptômes disparaissent grâce à l’halothérapie. L’efficacité du traitement est estimée entre 75-98 %. La plupart de nos patients font 1 à 2 cures d’halothérapie par an. Il arrive également qu'ils fassent quelques séances supplémentaires en dehors de ces cures en cas de besoin, par exemple s'ils s'enrhument.
Contactez-nous dès maintenant pour prendre rendez-vous pour votre première séance d’halothérapie.
Témoignages de patients
L'hiver dernier, j'ai été hospitalisé cinq fois à cause d'infections pulmonaires. La dernière s'est transformée en pneumonie nosocomiale ayant nécessité que je sois branché sur ventilateur pendant six jours. J'ai quitté l'hôpital au bout de 19 jours, très affaibli, avec une machine qui mesurait l’oxygène. Entendre les infirmières du service de pneumologie me dire « qu'il n'existe aucun remède, vous devrez profiter au mieux du temps qu'il vous reste à vivre » n'était pas exactement ce que je voulais entendre alors que j'essayais de m'en sortir. J'ai tapé « thérapies alternatives BPCO » dans Google et je suis tombé sur The Salt Cave. Après réflexion et quelques discussions avec des amis, j'ai pensé : « Pourquoi pas ? De toute façon, je suis déjà mal en point.
Suite à ma première séance à Earlsfield, j'ai senti ma respiration un peu plus dégagée. J'y suis donc retourné la semaine suivante pour faire un deuxième essai. Je suis heureux de pouvoir dire que, depuis la troisième ou quatrième séance, je n'utilise plus le nébuliseur du tout et j'ai complètement arrêté la carbocistéine.
Je conseille vivement The Salt Cave aux personnes souffrant de BPCO. Avant, je toussais jusqu'à en vomir pour essayer d'évacuer les mucosités de ma trachée et de mes poumons. Aujourd'hui, une petite toux et le tour est joué, sans même forcer. Le Salt Cave vous changera la vie, littéralement !
“J'arrive à me déplacer presque normalement. Alors, si vous souffrez de BPCO, contactez-les sans hésiter et allez-y, même si c’est loin ! Ils ont fait la différence dans ma vie et je ne pourrais jamais assez les remercier. Les jours sombres sont désormais derrière moi grâce à ce traitement !”
Alan S.
“Je souffre de BPCO avec des infections pulmonaires récurrentes qui peuvent s'avérer très invalidantes. Depuis que je fais régulièrement des séances (6 fois tous les deux jours chaque mois), je n'ai plus d'infection et je respire plus facilement. Un grand merci également au personnel de La Salt Cave !”
Anthony O.
"Je souffre d'emphysème et ma fille m'a offert une séance à la Salt Cave. La séance s'est déroulée dans une salle dont les murs et le sol étaient couverts de sel. Je me suis installée sur une chaise longue, l'éclairage était tamisé, et j'ai passé un moment de détente en écoutant de la musique relaxante pendant une heure. C'était l'heure la plus relaxante que j'aie jamais passée ! Une fois sortie, je n'ai pas vraiment senti de différence mais je me sentais détendue. Quelques jours sont passés et j'ai senti ma respiration s'améliorer. Je recommande vraiment La Salt Cave aux personnes souffrant de problèmes respiratoires."
Michele B.
